Henry Lafitte dit
"Camérade", un des derniers bateliers de la Bidouze, posant devant les restes du bachet "Les Arroques".
Depuis sa création, l'association mène un travail de sauvegarde et de transmission du patrimoine de l'Adour
maritime.
Ce travail s'est plus particulièrement axé sur la collecte de la mémoire de deux corporations aujourd'hui disparues : les bateliers et les calfats (ainsi qu'étaient appelés les charpentiers de
marine sur les rives de l'Adour).
Ce travail d'urgence, mené en partenariat avec Val d'Adour Maritime, consiste à recueillir oralement les souvenirs des derniers acteurs et témoins directs, ainsi qu'à collecter les documents photos et textes en rapport avec ces activités.